L’une des toutes dernières fresques peintes par Domenico Tiepolo dans l’intimité de sa villa familiale, au moment où Bonaparte s’empare de la république libre de Venise, est une vibrante métaphore du destin de sa ville. Le carnaval est interdit, et la capitale des plaisirs, qui faisait la fête des semaines durant pour tenter d’oublier son inexorable déclin, doit dire adieu à l’insouciance…
Les petits secrets des grands tableaux
Polichinelle et saltimbanques, Tiepolo, 1797
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